L'auberge Du Diable Dansant

- Si tu veux combattre pour moi .... Ok

- Bon je vois que nous avons un nouveau supporteur que de bonne nouvelles.

Sykram qui regardait la conversation le nez dans sa bière dit alors

-Oui, un autre pour supporter la cause d'Ivellios le noir. Aubergiste! Dites-moi donc s'il s'est passé quelque chose d'autre que l'arrivée de cette recrue dans l'auberge. Ya-t-il eu des problèmes avec les représentants de la lumière?

Et il attandit la réponse de l'aubergiste.

Voyant que la réponse n'arriverait peut-être pas, car l'aubergiste était maintenant parti dans l'arrière boutique, il partit en déclarant:

-Je m'en vais au marché, pour voir si il n'y aurait pas des aubaines. Si je ne trouve rien, j'irai voir dans cette bourgade neutre si les marchants seraient plus généreux sur les bas prix.

Et il sortit.

Sykram entra dans l'auberge avec fracas.

-Les humains ont des effectifs! Si nous ne faisons pas une armée rapidement, nous ne pourrons pas servir la cause d'Ivellios longtemps! Nous devons recruter et vite!

Sykram, encore debout au millieu de la pièce, demanda une bière à l'aubergiste, et se désaltéra. Il avait vraiment couru entre les deux villes comme si un ange de paradis était après lui

(HJ: Les revenants ont une peur énorme des représentants du paradis)

Voyant que l'auberge était déserte, il se dirigea vers la bibliothèque.

La jeune femme vit un jeune homme au fond ... Habiller de noir qu'il semblait concentrer dans un gros bouquin rouge ... L'homme l'appercus même pas il était trop concentrée

Par-Ravanal entra d'un coup de vent dans l'auberge. La liche commençait à retrouver sa force et vigueur. Elle s'assit à une table avec Hans et ceux qui les suivait. (HJ: Je sais pas si vous nous avez suivis mais ce devrait être alezar et Sykram)

-Aubergiste servez nous à boire et à manger. Beaucoup et de ta meilleure qualité.

Puis Par-Ravanal commença son histoire:

-Je ne peux vous donnez de date exacte car lorsque j'étais enfermé dans le livre j'ai perdu la notion total du temps. Mais je dirais au moins 45 ans. J'étais une archi-liche au pouvoir nécromant extrêmement puissant. Je me trouvais à la tête du cercle des damnés, une secte nécromane de ma création. Notre puissance était grande et notre influence encore plus. Nous étions au sommet de notre sombre art! Personne ne se mettait devant nous et nou acquérions des pouvoirs incommensurable.

En prononcant c'est mots les yeux sombres de Par-Ravanal semblait s'illuminer. Elle se remémorait les temps passés et son anciennes puissance.

-Mais comme toute grande organisation nous sommes tombé. Une guilde de mage s'était fixé comme but de nous détruire. Lors d'u...

Le revenant s'arrêta durant un moment le temps que l'aubergiste vienne mener la nourriture et les chopes. Par-Ravanal sortit sa bourse et paya. Puis elle reprit:

-Lors d'un rituel visant à invoquer des puissance d'outre monde les mages surgirent de nul par et commencèrent à massacrer les nécromant qui participait au rituel. Et je ne pouvais même pas agir. Car j'étais le maitre de rituel et si je lachais ma concentration trop rapidement les puissance que nous avions invoquer allais nous détruire tous. Un à un je renvoyais les âmes en enfer. Mais une fois que j'eu fini et que je peu me joindre au combat tout étais fini il ne restait que moi ainsi que le meilleur. Le seigneur mage qui menait l'attaque m'assena un coup, UN COUP, mais, vidé de mon énergie magique par le rituel je ne pus lutter. Il me mit hors-combat.

Par-Ravanal stoppa son récit un moment pour boire une gorgé et mangé une ou deux bouché puis reprit

- Pour faire sur que je cesse de les déranger les mages m'enfermèrent dans mon grimoire après d'avoir détruit la totalité de mes pouvoirs. Mais il avait fait une erreur. En étant dans le livre j'avais accès à une source considérable de puissance, et seul mon corps y était enfermé, mon âme était libre elle. Je pu donc ainsi me promener et c'est la raison pour laquelle je vous connais Alezar. Je commenca à prévoir mon retour. Je devais trouver un homme puissant et digne de me libérer. Je suis tombé sur Hans. J'ai décelé une puissance en lui et un capacité toute spéciale. Je lui ai donc fourni le moyen de venir m'aidé et lui ai montré notre voie. Maintenant que je suis de retour je ferais revivre le cercle des damnés et retrouverais mon pouvoir d'antan. Je devrais donc trouver les meilleurs Nécromant de nos sombres terres.

Hans était nerveux à raconter soin histoire. Il avait bel et bien rejoint les forces du mal, mais si les habitants de ce royaume de le croyait pas... De toute façon, il n'avait pas vraiment le choix. Il s'adressa à son petit public, tout en priants Ivellios (son nouveau dieu) de lui venir en aide. Il commença:

-Bonjour, tout dabbord, comme vous le savez probablement, je me nomme Hans. Je suis née dans un petit village des Terres de lumières, où j'ai grandis dans l'apprentissage des armes, de la lecture et des prières au...

Il allait prononcer le nom de son ancien dieu, mais se retint, peut-être que l'ont n'avait pas le droit de le prononcer en ces lieux.

-...À mon ancien dieu. Quand j'eu atteint l'âge adulte on m'envoya dans une académie d'entrainement destiné à former des paladins au combat et à la magie sacré. J'y ai étudié pendant quatre ans. J'étais un élève formidable, habile au combat, avec une sagacité impressionante pour mon âge. Malheureusement, j'étais très influencable. Malgré tout on m'a laissé sortir au bout de quatre ans, une chose rare. D'habitude, c'est plutôt cinq ans d'apprentissage. Mais l'académie avait appris que les forces de la capitale de lumière était au plus bas et avit besoin de recrues. Hors, je n'avais plus grand choses à apprendre. On m'envoya donc à la capitale. Je rencontrai Yuno, qui m'acceuilla avec grattitude. Pour mon plus grand bonheur, je rencontrai aussi une amie d'enfance, devenu prêtresse, et un collègue de l'académie. C'est quelques jours après mon arrivée que je commencai à recevoir des appels télépathiques de la part de Par-Ravanal qui m'incitait à venir le sauver. Je coyais que c'était un lumineux qui étais en danger! Ça voix me disais de peindre mon armure, je me suis dit que c'était pour ne pas être reconnu. Je suis aller le sauver. Et c'est en ouvrant le livre que j'ai changé complètement. Je ne comprenanit plus pourquoi j'avais passé ma vie pour le bien. J'étais subitement devenu profondément noir. Comme si ce grimmoire avait le pouvoir de me faire changer.

Il reprit sa respiration.

-Et voila, je suis maintenant entrain de vous parler...

Il croisa les doigts espérant que on le croirait.

Le seigneur noir regardait Par-Ravanal avec un piètre intéret.

- Les liches sont pour moi de petit vampire en quête d'âme et je croit que le livre que vous portez vous le jeunot serait plus utile dans les mains du jeune paladin noir si vous voulez mon avis.

Et il le fixa de son unique oeil.

Hans ria, pas trop fort pour ne pas attirer l'attention, mais juste assez pour que la liche le remarque. Il trouvait amusante la remarque de l'homme en noir. Il sentait qu'il allait bien s'entendre avec lui.

-Je ne vais pas vous départir de votre grimmoire sans votre accort. Mais si un jour vous voulez vous en départir...


Il lui fit un clin d'oeil.


Même si en réalité il aurait bien souhaité cela.

Il regarda Alezar.

-Seigneur, puis-je savoir votre prénom, si ce n'est pas trop indiscret?

Par-Ravanal regarda Alezar avec un regard à mi-chemin entre l'amusement et l'insulte.

-Sire Hans est effectivement puissant mais jamais je ne lui cederais mon grimoire. Il m'appartient et en rien je ne devrais lui donner. Et qu'est-ce qui vous fait dire qu'il possède plus de pouvoir que moi. Qu'est-ce que Hans aurait en à faire il ne s'agit que du recueil des incantations de mes sorts ainsi que de mes notes personelles. Quand à votre opinion sur ceux de ma race je n'ais rien à en faire.

Hans sentait la tension monter, il décida d'intervenir.

-Calmez-vous messire la liche (il dit cela avec une pointe d'ironie), nous sommes ici en amis... Du moins dans le même clan. Il serait inutile et dangereux de se quereller l'un l'autre.

Il continua d'un ton plus joyeux.

-Alors quels sont vos plans mes...

Il allait dire amis, mais il ne faut pas pousser.

-Mes chers collègues noirs?

Par-Ravanal se rassis calmement et commanda de nouveau à boire

-Pour ma pars j'avais l'intention de me rendre à Neutralia pour aller voir les nouvelles de ce monde.

Il fixa tranquillement Hans.

- Mon nom est Alezar La Main Noir le roi de cette ville et certainement le plus puissant de tout les nécromancien.

Et il parla à la liche.

- Ce qui m'impressionne chez vous est le fait que vous soyez la seule liche encore vivante ou semi-vivante de ce monde mais je croit que vous ne devriez pas allez à Neutralia. On peut être idiot mais à ce point...

Et il se retourna vivement vers la femme capuchonné et leva son baton noir et cria.

- Que la force des morts soit avec moi, qu'elle m'aide à châtier tous mes ennemis jusqu'au plus profond des Enfers !!!

Et le projectile la frappa de plein fouet.(-2 de point de vie)

Méllidia reçu le coup en plein ventre et tomba sur le sol. Elle roula un peu, puis se retrouva le nez contre le plancher. Elle releva la tête et regarda l'homme droit dans les yeux. Son regard ne fut pas provocateur ni suppliant. Elle se releva comme si de rien était, secoua sa cape et passa la main sur sa petite robe bleu pour la nettoyer un peu. Pi elle se mit droite pour s'incliner devant Alezar, malgrès qu'elle mordait l'interrieur de ses joues à cause de la douleur a son estomac.

'' Mon bon roi, lui dit-elle, tiré ainsi un coup sur une dame n'est pas de votre hauteur. Ma puissance est moindre, et si vous souhaiter m'éliminer parce que je semble avoir les narines chatouilleuses, tuer tous ceux ici présent.''

Elle remonta sa tête puis regarda à nouveau Alezar, son capuchon decendu, et ses cheveux couvrant ses épaules et le bors de sa poitrine.

''N'est-il pas plus sage de voir ce que je pourais faire pour vous, avant de se débaraser de moi?''

Hans se leva d'un bond, il avait reconnu la dame de l'auberge du gnome endormit.

-Avec tout le respect que je vous doit (dit-il a Alezar) pourquoi avez-vous fait cela? Cette dame ne vous a rien fait!

Il avait dit cela comme si il voulait la défendre, mais rien dans ses paroles n'aurait pu insulter ou vexer l'archinécromancien.

Il fixa avec une grande haine l'humaine et il répondit à Hans.

- De un, elle est humaine et elle se cache alors je ne croit pas quelle puisse être de notre côté et de deux cette femme ne m'inspire pas confiance comme le dit le proverbe. Se cacher est une façons d'éviter. Et vous jeune paladin noir vous devriez êtres moin sentimentale elle fera une très belle sucube après que je me soit occuper d'elle. AUCUN HUMAIN(E) (sauf toi Hans) NE PEUT ENTRER À KHARNASER ET EN RESORTIR VIVANT.

Il leva son sceptre et s'aprêtait à lui porter le coup final. Mais il s'arrêta.

- Et il est vrai que vous tuer serait une erreur je ne ferais jamais ceci alors toi Hans tue là voyons si tu voue allègeance au mal.

Hans visiblement troublé regarda son maitre sans trop comprendre. Pourquoi un humain ne pourrait-il pas vouer sa cause au mal? Cette dame ne nous avait rien fait. Il voulait prouver qu'il était devenu pronfondément mauvais, mais serait-il capable d'aller jusque la?

*Qu'est-ce que je vais faire, je ne suis pas un assasin...*

Il regarda les autres dans la salle. Ils me regardaient, tentant de prévoir ce que j'allais faire. J'avais beau être un paladin noir, je ne pouvais me résigner à tuer sans raison.

Il dit à Alezar:

-Peut-etre qu'elle ne savait pas qu'elle n'était pas la bienvenue, nous n'avons qu'a lui dire... Je me propose même de la reconduir. Une simple amende pourrait suffire, vous ne croyez pas?

- Fait comme tu veux disciple.

Et il cala une chope.