L'auberge Du Diable Dansant

Hans alla voir la jeune dame, il s'adressa à elle:

-Je crois que vous devez quitté mademoiselle, si vous tenez à votre vie bien sûr.

Pour dévier la conversation, il demanda à Alezar:

-Quels sont vos projets pour un futur proche?

Pendant quelques secondes, son coeur batit la chamade. Le septre levé vers elle, Alezar la transpercait du regard. Bien que le siens resta serein, sa nuque était couverte de sueur. Les humains n'était donc pas admit en ses lieux? Comment aurait-elle put le savoir? Cette erreure allait peut-être lui coûter sa vie. Puis il se tourna vers Hans, l'insitant à l'éliminer de lui même. L'homme en fut troublé, elle le voyait. Peut-être la laissarait-elle en paix? De fait il propossa un compromis, que le roi ne reffusa pas. Elle poussa un soupir à l'interrieur, ferma les yeux une ou deux secondes. Sa force revenue elle souria une nouvelle foi au roi et s'inclina une nouvelle fois.

"Mon bon roi, vous ne regrettez pas de m'avoir laisser vivre. Il est vrai que j'ignorais cette lois, et de fait, je quitterai sur le champ votre territoire. Mais avant de partir, j'aimerais seulement dire un mot à Hans."

Elle se tourna vers le paladin et lui souria.

"J'aimerais vous avertir. Tout juste après m'avoir dit au revoir dans l'auberge, le paladin de la veille à scander votre nom en disant qu'il fallait vous retrouvez. Il m'a ordonné de le suivre, ce que je n'ai pas fait, évidemment. Je crois qu'il voulait trouver d'autre gens et qu'à ce moment-ci il recrute pour vous éliminer. Ce n'est que ce que j'ai interpreté, je suis peut-être dans l'erreure, mais il semblait déterminer à vouloir vous tuer en sortant de l'auberge..."

Elle prit une petite pause.

"Je voulais juste vous en prévenir..."

Hans parut surpris, mais n'eu pas vraiment peur.

-Probablement Kalar, un beau parleur... Comme fera-t-il? J'aimerais bien voir. Mais merci de l'information. J evous dit aurevoir, et je suis sur que nous nous reverrons.

Hans n'aurait jamais pu tuer une femme aussi innocente que celle-ci. Elle l'avait aidé sans le connaitre...

Par-Ravanal avait observé la scêne avec indifférence. Il continuait de boire sans parler ni réagir mais il écoutait tous ce qui se disait autour. Il regarda Alezar.

*Finalement il me semble correct. Bon il est un peu insultant mais il dit ce qu'il pense sans détour. Et c'est une grande qualité*

Par-Ravanal demanda au roi noir:

-Pourquoi dites-vous que je ne devrais me rendre à Neutralia... est-ce si dangereux? Et puis si aucun suppot du mal ne s'y rends ce serait donenr la ville au controle des paladins? Enfin, vous êtes le roi de Kharnasser et souverain des terres du mal vous devez avoir raison. Mais si vous pouviez m'expliquer pourquoi?

Il releva la tête mine de rien.

- Je vois...vous pensez que je suis idiot de ne pas vous laissez aller à Neutralia. De un: Hans à fuis les terres de lumière et cet imbécile de yuno à surement lancer une équipe de secour et le seul point d'intersection entre notre royaume et le leur est Neutralia et il s'y sont. GARVENAK (sa veut dire idiot en vieux language) je ne suis pas lache mais bien stratégique si il vienne le chercher nous les attendrons.

Hans ne souhaitait pas faire un face à face avec ses anciens compagnons.

-Je crois un peu la même chose qu'Alezar, ce ne serait pas très sage. Mais j'ai une autre idée. Voudiez-vous découvrir la ville avec moi Par-Ravanal?

Par-Ravanal ne parut pas offusquer pas le ton d'Alezar.

Je ne vous prends nullement pour un idiot et maintenant que je connais votre point de vue je suis daccord. Si je puis vous servir d'une quelconque manière à la défense de la ville je suis pret à vous obéir.

- Bah vous pourriez faire une embuscade pour coincer les paladins et tous les tuer.

Et il se mit à rire.

Voyant le sarcasme apparant de Alezar il se tourna vers Hans et lui repondit:

Oui si vous-voulez.

Par-Ravanal se leva et calla sa chope avant de quitter l'auberge sans avoir oublié de saluer Alezar. ayant quitter l'auberge Par-Ravanal demanda à Hans:

-Y-a-t'il un lieu où vous désirez aller??

Hans réfléchit un instant.

-Nous pourrions aller faire un tour à la place centrale? Il doit y avoir un marché et... d'autres choses j'imagine.

Il se dirigea vers la place centrale.

Sykram, qui regardait la conversation un peu fatigué dit alors aux autres dans la salle:

-Allez-y si cela vous dit, mais moi j'ai un sommeil énorme sur les épaules. Je vais aller faire une sieste à l'étage et reviendrai vous voir à votre retour. À la prochaine chers alliés!

Et il monta à l'étage tellement endormi que l'on croyait qu'il s'endormirait en chemin.