En route pour le mont Kalfur

Hans et par-Ravanal voyageait depuis déjà une bonne heure et demi. À l'horizon, le soleil déclinait et allait tomber derrière le Mont Kalfur qui se dessinait dans la lumière blafarde.

*Un mont gigantesque!*

Hans n'avait jamais beaucoup voyagé, la seule fois qu'il aurait pu aprécié ce payasage aurait été son voyage de la ville de lumière à Kharnhaser, mais il éait trop occupé sur sa mission de sauver la liche pour regarder la nature qui défillait.

Tandis que le soleil disparaissait, la noiceur prenait le règne. La vision des aventurier se fit de plus en plus difficile et c'est Hans, chevauchant devant la liche, qui s'arrêta le premir.

-Nous devrions faire le campement je crois, la nuit va bientôt tomber.

Si Kalar n'avait pas apperçu la lumièere d'un feu de camp jamais il se serait arêter pour regarder ce petit cortège d'aventurier qui selon lui était suspect. Et cet avec un grand sursaut qu'il remarqua deux cavalier un espèce de démon et aussi un chevalier noir.

- Bah, se dit-il, la routine...

Il saisissa son marteau de guerre composé d'un gigantresque socle de pierre marqué de runes sacrés et d'un manche en argent aussi marqué de runes et il se prépara à attaquer. Il se faufila entre les buisson et il prit les chevaliers par derrières en criant son cris de guerre préféré.

- POUR LE SAINT DES SAINTS GADOK LE GRAND !!!!

Méllidia avait suivit Kallar. L'homme devait encore chercher Hans. Quel idiot... Mais enfin, il avait réussi à le trouver. Il était avec le mysterieux Par-Ravanal.

Mais.. Il allait les attaquer! Méllidia se glissa assi silenceuse qu'un serpent dans la brousse et au moment ou il avait levé son grand marteau, elle prit sa dague à sa cheville et poignarda l'homme a son épaule droit, tentant de le faire basculer sur le côté.

(Un Point de Dégat)

Hans entendit des pas près de lui, puis un petit cris d'agonie. Comme si un combat avais lieu à coté. Dans la noirceur, on ne pouvait pas discerner grand chose. Il se revira et tout ce qu'il vit fut un marteau brandit dans les airs. Puis il entendit un grand cri au nom du Saint-Gadok.

Il fallait se défendre. Mais au lieu de sortir son épée comme la logique le voudrait, des mots s'échapèrent de sa bouche, sans qu'il ne l'ait voulu, il fut tous aussi surpris de les voir sortir que le résultat qu'ils produisirent.

-Que la force des morts soit avec moi, qu'elle m'aide à châtier tous mes ennemis jusqu'au plus profond des Enfers!

Il l'avait crié haut et fort, de sa main s'échappa un projectile qui se dirigea vers le guerrier au marteau.

(2 pts de dégat)

Par-ravanal réagit un peu plus lentement car elle ne possêdait pas les réflexes guerrier de Hans. Elle entendit les incantations du paladin noir et la lumière produite par son sort. Elle eu le même réflexe que lui et incanta le même sort. Un classique des sort nécromant.

-Que la force des morts soit avec moi, qu'elle m'aide à châtier tous mes ennemis jusqu'au plus profond des Enfers!

La deuxième attaque frappa l'ennemie en pleine poitrine. Par-ravanal ne savait pas exactement sur qui elle venait d'attaquer mais l'avoir entendu crier le nom du dieux bon en guise de cri de guerre suffisait à ce que la liche l'attaque. Elle se leva et regarda voir de qui il s'agissait. Lorsqu'elle aperçu une deuxième silhouette elle sortit son épée.

(2 autre points de dégat)

La jeune femme baissa sa capuche et avanca, emboittant le corps de Kallar. Elle souria a Par-Ravanal, lui lanca un regard mieleux.

-Je suis désolée si je vous ai fait peur, je voudrais seulement reprendre ma dague qui a empecher une douloureuse blessure à votre ami.

Elle se pencha, sortant son fin poignard de l'épaule du guerrier. Elle remonta le regard et rencontrant a nouveau le lourd regard de Par-Ravanal, essayant d'attendrir le sien pour créé un équilibre.

Hans reconnut la dame qu'il avait sauvé des griffes d'Alezar à l'auberge de Karhnaser. Il abaissa sa capuche lui aussi.

-Nous sommes maintenant quitte (dit-il à la dame), mille merci de m'avoir sauvé...

Parlant au deux:

-Ne devrions nous pas le guérir?

Par-ravanal regarda dédaigneusement le corp

-Et pourquoi donc?? il a voulu nous tuer. Non je ne pense pas mais si vous voulez je ne vous en empêche pas Hans.

- Je vais tous...vous tuer sale suppôt des enfer sale bande de petit...

Et il s'évanouit.

La jeune femme souria. Supot des enfers? Que connaisait-il donc des enfers, cet ignorant? Ce n'était qu'une belle langue, mais sa bouche était perfide, et il manquait d'humilité...

'' Le guérir? Il vous cour après sans cesse. Si j'étais vous, je m'arangerais plutôt pour qu'il ne soit plus dans vos jambes."

Ellle prit une pause.

" De plus, il n'est pas qu'après vous... Il est après votre ami. Bien sûr, il ne m'a pas reconnu puisque j'était capuchonée."

Hans sembla réticent.

-Vous savez, je crois qu'il ne nous a pas vraiment vu, il a plutot attaqué sans trop savoir qui c'était... Il s'avait seulement que nous étions des serviteurs du mal...

Malgré son nouveau penchant pour le côté obscur, Hans ne pouvait se résigner à le laisser là.

-Je propose de le porter plus loin, de le réanimer et de s'enfuir... Ainsi, il ne nous retrouveras pas... Quand il sera en assez bonne forme pour se remmetre en route, nous serons déjà loin avec nos montures...

*C'est mon ancien compagnon, je ne peut le laisser là...*

Il ne s'était pas vraiment évanoui, c'était seulement une simple diversion pour revenir en force...

- Saleté de petit idiots sans la dame vous seriez déjà mort haaa....si j'avais pas cette saleté de douleur dans l'épaule bande de %*??&% de chez %?&*%? et vos mère sont toute des $?%&%$&....si je vous attrape sale chevalier noir de %*%?&?&

Il n'avait jamais utilisé autant de jurons en une seule phrase mais au moins'il il mourait il ne serait pas seul....

- Que le feu sacré te guérisse pour que tu puisses retourner au combat.

Et il se désigna comme cible. Et il se releva et saisisa son marteau et envoya un grand coup dans le ventre du chevalier.(-2 points de vies) et il prit de nouveau son élan pour y envoyer son marteau sur le crâne de l'autre créature (2 points de vies). Et il se retrouna vers la dame.

- Milady...je vous souhaite de croupir en enfer.

Et il sourit et s'enfuya en courant.

- Ha et aussi les mère de vos mère sont tous des #%$%?%$ BONNE JOURNÉE HÉ HÉ HÉ.

Et il disparut dans la nuit.

[HJ: Tu n'as aucun point de vie...5-1-2-2=0]

Hans bondit littéralement et sauta sur sa monture, sans même l'avoir sellé, il tourna bride et se dirigea vers le fuillard.

-Où est-tu peureux, tu ose nous attaquer et tu fui lâchement par la suite!

Ce ton provocateur aurait fait réagir n'importe quel homme d'honneur.

Hans ne sentait même plus ces blessures tellement l'adrénaline avait pris le dessus. Sa monture hennissait et piaffait d'effervescence pensant au combat qui aurait lieu.

(H.J): Va voir les règle Melidia.

Ce n'était qu'un minable, elle en avait la preuve. Son insulte était utiliser par les charognes stupides qui contoyait les tavernes. Qu'il fuit, cette vermine! Et il a resortit es enfers! Misérable..

Détourné de la liche, elle bouillonna sa colère et son dégout. Elle e tourna vers Par-Ravanal, s'étant calmée et lui dit d'un ton doux.

"Nous aurions du lui infliger d'autre coups à ce batard."

Quelle ironie...

Par-ravanal regarda Melidia

-Surement oui. Hans a eu tort de vouloir lui laisse la vie. Quel imbécile. Ces insultes étaient des plus ridicules.

Par-ravanal sortit une potion et la bu.

-Cela va mieux. Merci de votre aide gente dame, dit Par-ravanal sur un ton étonnamant courtois pour un mort.

Par-ravanal se revira et regarda si Hans revenait.

-Et puis si cet idiot était mort nous aurions eu un cadavre que j'aurais pu ramener à notre service.

Hans revint au trot, bredouille.

*Quel lâche...*

Il descendis de sa monture, celle-ci semblait déçu de ne pas combattre.

-Nous ne devrions pas rester ici, cet imbécile pourrait ramener des renforts.

Tous en commencant à ranger ses chose Par-ravanal lui répondit.

-Mais bien sur.

Il s'approcha subtilement de Hans fesant semblant de vouloir ramasser quelque chose et le paqueter et lui demanda à voix basse:

-Que fait-on de la femme?

Bien sur elle ne pouvait pas entendre.

Après quelques heures de cheval, Sariah arriva devant le mont de sa vision. Le Mont Kalfur se dressait majestueusement devant elle, imposant et calme... en apparence. Son cheval semblait nerveux, et avançait par petits pas alors qu'il commençait à escalader le chemin sculpté grossièrement sur la paroi. Sariah était nerveuse aussi, ce qui ne l'aidait point... Pour se rassurer, elle flatta le museau de son destrier blanc comme neige.

"Tout doux, mon grand. Tout doux..."

Elle continua un peu, alors que le jour se levait... Puis, après un bout de temps, le cheval n'en pouvait plus, il ne voulait plus continuer. Tout à coup, comme s'il avait ressenti la force des ténèbres qui se rapprochait, il se cabra et fit tomber sa cavalière à la renverse, partant au galop en sens inverse. La prêtresse resta un moment allongée sur le sol dur, le temps de réaliser le choc et la douleur...

*Aïe... Ah non, ce n'est pas vrai! Comme si ce n'était déjà pas assez...*

Décidément... peut-être devrait-elle rebrousser chemin? À cette pensée, le visage de son ami d'enfance apparut à son esprit. Sa vision... La vision de son ami, de ces êtres de ténèbres... Non, elle ne pouvait plus reculer! Elle se releva avec peine et marcha un peu jusqu'à entraperçevoir un campement.

C'était eux, elle en était certaine... Ceux de sa vision. Hans...

Elle s'approcha sans bruit, puis, cachée derrière une paroi rocheuse, observait la scène, attendant le moment propice pour agir...

Hans qui réfléchissait au coin du feu entendit un petit bruit dans plus loins. Il glissa à Par-Ravanal:

-Ne regarde pas tout de suite, mais je crois que j'ai entendu quelques choses là-bas...

*J'ai peut-etre rêvé?*

Néanmoins il jeta un coup d'oeil vers la provenance du son.

Par-ravanal ne se revira même pas et répondu:

-Peu importe. Si c'est notre "ami" qui revient nous saurons comment le traiter.

Hans eu un haussement de sourcil.

*Il n'est pas prudent...*

-Je vais voir.

Le guerrier n'avait pas envie de se faire épier.

Il se dirigea vers la provenance du bruit.