L'auberge du gnome endormi

Sykram arriva tard dans la soirée à Neutralia. C'était une ville assez grande, qui appartenait aux gnomes, qui y fesaient des affaires en or pour vendre leurs produits. À l'entrée, une pencarte disait «TOUTE PERSONNE SE COMBATTANT DANS CETTE VILLE AURA DES RÉPRIMANDES SÉVÈRES POUVANT ALLER JUSQU'À LA PEINE DE MORT.» et aussi «اي شخص يحارب في هذه المدينة ستكون قادرة التأنيب الشديد للذهاب الى عقوبة الاعدام». Ils voulaient être sur de se faire comprendre en toutes les langues, sa se voyait. Il faisait alors le tour des échoppes du marché, sans rien trouver de mieux qu'à Karnhaser. Il vit alors une auberge, l'auberge du gnome endormi. Il s'y engouffra.

-Aubergiste! Une bonne chope ce voyage m'a donné soif!

Après que l'aubergiste lui ait remis sa chope et lui remis son dû à l'aubergiste, Sykram posa son regard sur la salle vide de personnes devant lui. Il pensa alors à haute voix.

-Diantre sa me rappelle l'auberge du diable dansant quand j'y suis arrivé pour la première fois...

Et il prit alors une bonne gorgée de sa chope.

Kalar entra dans la taverne et commanda une bonne chope de bière et il s'assit. Jamais sa vie n'avait étré aussi mouvementé et la vue d'un renenant le répugna et l'envie de lui écraser le crâne avec son marteau lui caressa l'esprit.

Sykram resta surpris un instant.

-Diantre! Quesse qu'un humain fait ici!

Il sortit alors de l'auberge, allant annoncer à Alezar que les humains aussi avaient des effectifs.

Une femme rentra dans l'auberge. Sa chevelure noire pendait de son capuchon et on pouvait voir tout son corps dans l'ouverture de sa cape. Elle portait une petite robe bleu nuit et des bottes de marche qui couvrait ses jambes jusqu'aux mollets. Ses habits choquant ne l'importait peu. À ses doigts brillait une multitude de bagues et dans son cou pendait une chaine dont l'extremité tombait dans son bustier. Elle releva son capuchon et laissa voir un jolie minoit et des yeux verts tranperçant. Elle s'assit dans un coin de l'auberge, ne parlant à personne, et ouvrit un livre, possant ses pieds sur une table. Ses doigts vernis d'un rouge obscure tourna les pages avec finesse.

Kalar remqrqua l'arrivé de la femme qui par son grand grimoire avait trahit sa classe. Kalar n'avait jamais aimé les mages, il changeait de camps souvent au gré des combat mais elle ne lui inspirait ni crainte ni peur. Il s'asseya prêt d'elle.

- Puis-je vous demandez votre nom jolie dame ?

Son livre n'était pas un grimoire. Il était bien trop petit pour cela. La femme releva les yeux et passa son regard de long en large sur son interlocuteur. Sa bouche forma un sourire mystérieux et malicieux.

- Et à quoi vous servirait un nom? Ne portons pas un nom comme on porte un étandare? Si je changeais de nom demain, il ne vous serait plus du tout utile...

- Il est vrai qu'un nom est aussi changeante qu'une idée mais...puisque je ne vous ai jamais vue un nom serait la bienvenu cher dame.

Et il s'asseya à sa table.

Son sourire n'avais pas décrocher. Elle le fixa longuement alors qu'il s'assit à sa table. Elle descendis ses bottes sur le sol, s'appuya sur la table et lui demanda:

- Quel nom voudriez-vous me donner?

Hans arriva à Neutralia après quelques heures à dos de cheval. Il était épuisé et il avait besoin de se reposer. Il entra dans une auberge où une affiche indiquait:

-Le gnome endormi

*On fera avec*

Il pénétra l'auberge. À l'intérieur, tout avait l'air propre, bien entretenue. Il y avait à l'intérieur quelques clients dont... Kalar!

*Il ne doit pas me voir*

[i]Avant que le paladin ne puisse l'apercevoir, il se mit une capuche sur la tête de sorte que l'ont ne voyait plus son visage.

Il se dirigea vers le comptoir et commanda une chope qu'il sirrota tranquilement.

Méllidia observa le nouveau venu sans détourné la tête. Il s'était capuchoné à la vu de sa table. Quel étrange personnage... Il s'assit au contoire, dos à elle. Puis elle retourna son regard transperçant dans les yeux de l'homme devant elle.

Hans était d'humeur à mettre de l'huile sur le feu, il irait donc parler à la jolie dame derrière lui, mais changerait sa voiz pour ne pas que Kalar le reconnaisse.

Il se leva et alla à sa table.

-Bien le bonsoir mademoiselle, je pourrais vous demandez votre nom, mais je n'ai pas l'intention de vous dire le mien... alors...

Il dit cela en jetant un coup d'oeil à Kalar.

-Que fait une si jolie dame dans une auberge, êtes vous en voyage?

La dame était maintenant entourer de deux hommes. Son pouvoir d'attraction la fit rire interrieurement.Il ne voulait pas dire son nom? Qu'importe ce qu'un nom pourait lui donner...

-La vie est un voyage, étranger. Hors de tous, c'est le plus long et le plus douleur... Alors sur cette pente, oui je suis en voyage.

Hans fut surpris, mais aussi ravi de cette réponse. Il était aussi d'humeur à philosopher.

-Vous avez parfaitement raison gente dame, mais je vais préciser ma question. Avez-vous une destination? Ne me réponez pas que c'est la vérité absolue ou le savoir universel...

Dit-il en riant. [i]

Bien qu'elle trouva l'intervention de l'étranger très amusante, elle ne fit qu'élargir à peine le sourire. À nouveau, elle le regarda de la tête aux pieds pour bien l'étudier. Ellne changea sa tête d'épaule.

-Je n'ai pas de destination pour le moment, sauf peut-être celle qui me mennera ou je veux aller.

hans bavarda un bon bout de temps avec la dame. Mais ils ne se dirent rien d'important, car chacun semblait rétisant à parler de lui. Au bout d'un certain temps, il dit:
-Je vais me coucher, il est tard et j'ai longue route demain.

La femme approuva d'un signe de tête. Elle jeta quelque pièce sur la table et se leva, sa cape pendant autour de sa taille fine. Elle monta l'escalier, se prennant une chambre au hasard, n'en ayant point commander à l'aubergiste.

Hans ria. Il aimait bien l'attitude de cette femme. Pour sa part, il commada une chambre et alla s'y coucher. Il dormit seulement quelques heures, le temps de se reposer.

Tôt le matin, il sortit de l'auberge, après bien sur un petit déjeuner, enfourcha sa monture noir et se mit en route pour la ville noir.

Il voyagea environ trois heures et arriva en vue de la ville.

Kalar remarqua la présence de cet étrange homme et même s'il essayait de cacher sa présence il l'avait remarquer. Quand même ! Il fallait plus qu'une cape pour le tromper. Et la dame était encore là.

- VOUS...si vous défendez une cause qui contient un brin de loyaiuté suivez moi je sens que sa va vraiment être dangereux.

Et il quitta l'auberge.

Méllidia resta sur place sans rien dire. Elle venait juste de se lever et ses cheveux tournoyait autour d'elle. Pourquoi suivrait-elle un étranger? Et loyauté envers qui? Préférant continuer pour découvrir le coin, elle prit son sac sur son épaule, remit sa capuche en place et partit de l'auberge, vers un endroit.

Après plusieurs heures de voyage, Sariah mit enfin pied à Neutralia. Elle se dirigea vers l'Auberge du Gnome Endormi, espérant peut-être y retrouver Hans. Ou peut-être Armakar: il avait dit qu'il se rendrait au même endroit. Elle poussa la porte de l'auberge; à sa déception, il n'y avait aucune âme qui vive, à l'exception de l'aubergiste... Hé ben... elle attenderait ici. Ce qui est mieux puisqu'elle ne connaissait que très peu l'endroit...

S'assoyant à une table, elle relut plus attentivement la liste qu'Hans avait laissé, espérant trouver un sens - et une solution! - à toute cette histoire...

(HJ - Je pourrais bien savoir ce qu'il y a d'écrit sur cette fameuse liste? ^^;; )

Voila se qui était écrit sur le parchemin:

-Karhnaser

-Territoire du chaos

-L'antique bibliothèque

-Grimmoire

-Rapidement

Armure noir...

( HJ- Merci! ^-^ )

* Karnhaser... Territoire du Chaos... *

Dès les premières lignes, il était évident qu'Hans devait se rendre au Territoire du Choas. Peut-être y était-il déjà rendu... Elle soupira. L'idée de sa faufiler à Karnhaser lui traversa l'esprit, mais elle se ravisa: bien trop dangereux! Ses yeux continuèrent à parcourir le parchemin.

* L'antique bibliotèque... Grimoire...*

Un grimoire? Mais qu'aurait-il bien voulu faire avec un grimoire? La magie était peut-être en cause dans toute cette histoire...Peut-être son ami avait-il été victime d'un enchantement, en fin de compte...

* ...Rapidement... *

Rapidement?! Sariah trembla: à ce rythme-là, elle devait faire vite. Enfin, elle termina avec le dernier mot de la liste:

* Armure noire... *

Armure noire? C'était du délire! Aucun paladin digne de ce nom ne porterait une armure noire... peut-être à part un... paladin noir... Sariah déglutit: Hans, un paladin noir?! C'était impensable... C'é-tait, car c'est ce qu'il est devenu... Ou du moins, ce qu'il semblait vouloir devenir: un serviteur du mal...

Et finalement il poussa la porte de l'auberge et fut heureux de constater la présence de Sariah.

- Que se passe t-il ma dame pour que vous soyez ainsi chagriner. Hier soir j'ai prit une décision...JE VAIS DEVENIR VOTRE CHAMPION ET VOUS DÉFENDRE JUSQU'À MA MORT JE POURRAIS FAIRE LE SACRIFICE ULTIME POUR VOUS.

C'est très peu de temps après l'arriver de Kalar, que Karamkar entra finalement dans l'auberge. Il préféra ne pas interrompre la conversation entre Kalar et Sariah. Il s'assit donc seul à une table sans rien boire en attendant que l'un des deux paladins l'aperçoivent et l'invite à les rejoindre.

Comme Armakar voyait que s'est amis ne régissait pas et que leur conversation ne semblait pas trop personnelle il se décida à aller les voir.

- Bonjour j'espère ne pas trop vous importuner. Puis-je me joindre à vous?

Sariah releva la tête et fut... comment dire... surprise par la demande de Kalar. Un champion? C'est bien la première fois qu'on lui demandait cela! Elle eut une hésitation, puis dit:

"Pardonnez-moi... j'apprécie beaucoup, mais..."

Elle s'arrêta, pesant bien ses mots: elle ne voulait pas blesser le paladin.

"... je ne souhaite pas de champion. Je... je crois bien être capable de me défendre par moi-même. Même si les événements d'hier m'ont..."

Elle retint une larme.

"... m'ont profondément ébranlée... Mais si vous y tenez à ce point, faites ce que vous voulez. Vous pouvez bien être mon champion, mais je tenais juste à ce que vous sachiez mon avis..."

À peine eut-elle fini sa phrase qu'Armakar arriva lui aussi. Il semblait bien que tout le monde était réuni à nouveau... Enfin... presque tout le monde... Elle mit la liste sur la table de sorte à ce que tout le monde puisse la lire.

"Vous pouvez vous joindre à nous, Armakar. Plus on est, mieux ce sera... Comme vous le savez peut-être, j'ai trouvé ceci dans la chambre de Hans, et c'est écrit de sa main. J'aimerais savoir ce que vous en pensez..."

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